Les vingt-six militants du PPA-CI de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire étaient devant la cour d’appel du tribunal de première instance d’Abidjan mercredi 22 mars. Au début du mois, ils avaient été condamnés à deux ans de prison pour trouble à l’ordre public. Mais à la barre hier , ils niaient un par un les effets qui lui sont reprocher. ces 26 militants du parti politique du présidant Gbagbo ont été arrêtés le 24 févier denier alors qu’ils accompagnaient le secrétaire générale du parti à une convocation judiciaire. Même si la procureur du premier instance a reconnu que il y’avait pas de violence, mais ils ont été condamnés à 2 ans de prison ferme.
Leurs avocat compte faire appel. maitre sylvain Tapi dit
« il ne s’agissait pas d’une manifestation, mais d’un soutien moral à leur secrétaire du parti n’est pas interdit. En droit , tout ce qui n’est pas interdit est permit donc on vous trouve sur le trottoir, on vous embarque manu militari. C’est ce qu’il qui s’est passé exactement donc si ce jugement devrait être confirmer, ce serait un jugement extrêmement dangereux pour les libertés individuelles et collectives «
Mais pour le gouvernement, ce rassemblement serait une manifestation sauvage dit le porte parole du gouvernement Amadou Coulibaly
« les manifestation sauvages dans beaucoup des pays ne sont pas autorisées. Mais les manifestions au moins autorisées sont soumissent à une déclaration. Et qui conque viole la loi , je dirai ses dispositions, va subir les rigueurs de la loi et par ce que cela pourrait être considérer comme trouble à l’ordre public »